LES BLAGUES de Jean-Luc

TOME 3

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De Michel Audiard 

La fréquentation des salons m'a appris une chose: à ne plus chercher à acheter au coin des rues ce que l'on trouve gratuitement auprès des femmes du monde.

Je suis pour les titres longs. Si à la recherche du temps perdu s'était appelé simplement Albertine, ce serait moins bon.

Les cons ça osent tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît

Conduire dans Paris, c'est une question de vocabulaire.

La police, c'est comme la Sainte Vierge. Si elle n'apparaît pas de temps en temps, le doute s'installe.

J'ai été enfant de chœur, militant socialiste, et bistrot. C'est dire si j'en ai entendu des conneries...

Quand on mettra les cons sur orbite, t'as pas fini de tourner !

A travers les innombrables vicissitudes de la France, le pourcentage d'emmerdeurs est le seul qui n'ait jamais baissé.

On est gouverne par des lascars qui fixent le prix de la betterave et qui ne sauraient pas faire pousser des radis.

Les conneries, c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer.

A mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive, c'est le défilé de la victoire.

L'emmerdant, c'est avant.

Perles des assurances

En vous remerciant par avance, je reste dans la tente de votre chèque de règlement.

Je viens, par la présente, vous déclarer un accident qui, pour être banal, n'en est pas moins inhabituel.

L'incendie a pris dans la cuisine, mais, lorsque les pompiers sont arrivés, le feu était déjà circoncis.

J'ai pris contact avec votre répondeur et celui-ci m'a aimablement conseillé de vous écrire.

Mon assurance incendie couvre mon mobilier pour une somme illimitée, mais je m'aperçois que la cotisation est également sans limite.

En décembre 92, j'avais cassé mon pare-brise et vous aviez gelé mon bonus; je viens d'avoir un autre accident à la fin d'août: est-ce que le gel marche aussi pendant l'été?

En repoussant un chien tenu en laisse par son maître, je me suis fait mordre par ce dernier.

Mon mari s'est toujours bercé au même endroit et il a perforé le tapis.

A la suite d'une querelle, une de mes chambreurs s'est fait arracher un sein (elle avait omis de nous dire qu'elle portait une prothèse).

J'ai un bris de pare-brise, mais je connais le coupable: le garagiste l'a fracturé lorsqu'il a enlevé toutes les vitres de mon auto pour la repeindre.

Mon fils va prendre des cours pour piloter un petit avion. Je voudrais savoir si les assurances que j'ai chez vous le garantissent contre le vol?

Une blague proposée par Jean-Claude Sarrasin

Une dame vient de mourir et aujourd'hui, c'est son enterrement.

Après la cérémonie religieuse, les employés du service de pompes funèbres transportent le cercueil hors de l'église jusqu'au corbillard. Mais à la sortie, les porteurs évaluent mal la trajectoire et heurtent violemment le mur de l'église avec le cercueil.

Celui-ci tombe violemment sur le sol, provoquant une stupéfaction générale. Et dans la confusion qui s'en suit, l'un des croque-morts entend un gémissement plaintif qui semble venir du cercueil...

On décide donc de l'ouvrir et on découvre que la femme est encore bel et bien vivante. Elle vit d'ailleurs une bonne dizaine d'années et meurt.

Une nouvelle cérémonie est donc organisée à la même église. Et au moment ou les employés des pompes funèbres transportent le cercueil hors de l'église, ils entendent le veuf hurler en paniquant:

"Faites gaffe à ce foutu mur !"

Le Capitaine Courage Proposée par Hélène Hermant

Le Capitaine Courage était une légende des cons. Il n'avait, parait-il, jamais connu la peur. Un jour, au large des cotes d'Espagne, il avait croisé un navire de pirates et, se préparant à la bataille, il avait réclamé à voix haute à l'un de ses marins: "Qu'on m'apporte ma chemise rouge !".

Devant tout l'équipage, il enfila sa chemise et, quelques heures plus tard, remporta la victoire. Une autre fois, on entendit le veilleur, perché sur son mat, crier: "Alerte, alerte ! Deux navires pirates à bâbord. Nous les croiserons dans 25 minutes !".

Le Capitaine réagit immédiatement: "Qu'on m'apporte ma chemise rouge !". Et après une lutte sanglante et un abordage brutal, il célébra une nouvelle victoire à la tête de ses hommes.

Cette chemise rouge était devenue un mystère. Un jour, le second du navire se hasarda à demander au Capitaine Courage: "Mais pourquoi cette chemise rouge, Capitaine ?"

Le fier officier répondit haut et fort: "Si je suis blessé pendant l'assaut, mes hommes ne s'en apercevront pas et donc conserveront leur ardeur au combat..." Et tout l'équipage applaudit.

Quelques jours plus tard, une flotte de navires pirates est signalée par le veilleur: "Alerte, alerte ! Douze bâtiments ennemis a tribord. Nous les croiserons dans 20 minutes !"

Le Capitaine cria aussitôt à l'attention de son second: "qu'on m'apporte mon pantalon marron !"

 

Propose par Arnaud Duchon Voici une lettre reçue par Belgacom (Telecom belge)

Le 25 avril 1994

Cher Monsieur,

J'ai l'honneur d'accuser réception de votre lettre du 12 avril dernier par laquelle, pour la troisième fois, vous me réclamez le remboursement de l'argent que je vous dois. Sachez tout d'abord que je ne conteste pas cette dette et que j'ai l'intention de vous rembourser aussi tôt que possible.

Mais d'autre part, je vous signale que j'ai encore beaucoup d'autres créanciers, tous aussi honorables que vous, et que je souhaite rembourser aussi.

C'est pourquoi, chaque mois, je mets tous les noms de mes créanciers dans un chapeau et en tire un au hasard que je m'empresse de rembourser.

J'ose espérer que votre nom sortira bientôt. Entre-temps, je vous prie d'agréer, Monsieur,

l'assurance de mes sentiments distingues.

Signature

P.S. : Votre dernière lettre étant rédigée de manière fort peu courtoise, j'ai le regret de vous faire savoir que vous ne participerez pas au prochain tirage.

Proposée par Sylvélie :

Dans une colonie de vacances pour adolescents, une nouvelle monitrice demande au directeur :

- Pourquoi est-ce qu'on met les garçons d'un coté du lac et les filles de l'autre ?

- Fiez-vous à mon expérience : avant la fin des vacances ils saurons tous nager !

Proposée par Christophe Otero

Trois hommes s'inscrivent à un concours de natation pour handicapés.

Le premier n'a pas de bras, le second n'a pas de jambes, quant au troisième, il n'a pas de corps, rien qu'une tête. Ils s'alignent sur les plongeoirs, "Bang !" fait le pistolet, puis "splash", les voilà tous dans la flotte. Le manchot prend instantanément la première place, serré de près par le cul-de-jatte (j'ai failli dire "talonné" !). L'homme-tête coule comme un plomb.

Dix longueurs de bassin plus tard, le cul-de-jatte, est vainqueur. Il voit des bulles qui remontent du fond de la pistoche, devine que c'est l'homme-tête qui est en difficulté, et décide d'aller à sa rescousse.

Il replonge, attrape l'homme-tête, remonte à la surface, et le repose sur le bord de la piscine. L'homme-tête recrache l'eau de Javel, tousse, s'étrangle, puis finit par s'exclamer:

"Tu passes trois ans à t'entraîner à nager avec tes putains d'oreilles, et trente secondes avant le départ, y a un connard qui te fout un bonnet de bain !"

Proposée par Christophe Otero

Une femme rentre dans une pharmacie et demande à l'épicier si il vend des préservatifs 'Taille maxi'.

Le pharmacien lui répond :

"Oui, bien sûr madame. Vous en voulez une boite de dix ou de cinquante?"

Et la femme:

"Heu, ça ne vous dérange pas si j'attends ici qu'un de vos clients vienne en acheter?"

Proposée par Talboum :

Richard était un programmeur COBOL dans les années 80. Lorsque les années 90 arrivèrent (après que les unixiens, les développeurs de Web site et les spécialistes du Client/Serveur se soient moqués de lui en l'appelant dinosaure pendant des années), il eu enfin quelque respect de la part de ses pairs. Il devint un consultant indépendant sur le passage à l'an 2000.

Il travaillait sur des missions d'audit et de conversion du système d'information, voyageant par monts et par vaux. Il travaillait 70, 80 et même 90 heures par semaine, mais il faisait avec.

Cependant, après quelques années sans repos, ce travail débilitant fit disjoncter Richard.

Il eut des problèmes de sommeil et commença a avoir des cauchemars à propos de l'an 2000. Il avait atteint un point de non-retour où la moindre discussion entre collègues sur l'an 2000 pouvait le rendre violent. Il devait sûrement souffrir d'une sorte de dépression nerveuse, car il commençait à envisager d'éviter l'an 2000, et toutes les conséquences qui allaient avec.

Vers la fin de l'année 1998, Richard décida de contacter une entreprise californienne spécialisée dans la cryogénie. Il signa un contrat pour être congelé jusqu'à l'an 2001, avec leur tout nouveau processus automatique de réveil (très très cher). Il était terrifié.

La seule chose qu'il avait en tête était qu'il allait se réveiller en 2001, juste après le nouvel an et la débâcle des ordinateurs, juste après l'année du saut, et les plâtres auront été essuyés. Rien d'autre en tête que d'espérer en sortir vivant.

Il fut mit dans un réceptacle cryogénique, les techniciens ajustèrent le jour et l'heure de réveil, et lui injectèrent quelque produit pour ralentir son rythme cardiaque et respiratoire vers le minimum vital, et ce fut tout.

La première image que Richard vit en se réveillant fut une pièce énorme et très moderne, remplie d'une foule en liesse.

Ils criaient tous "Incroyable" et "Il est vivant !". Il y avait des caméras (il n'en avait jamais vu de telles auparavant) et des appareils sortis tout droit des films de science fiction.

Quelqu'un qui semblait être un porte-parole s'avança. Richard débordait d'enthousiasme : "ça y est !" sedemanda-t-il. "Sommes-nous en 2001 ? En est-ce fini de ces histoires de millénaire et de situation de crise ?

" Le porte-parole expliqua qu'il y avait eu un problème avec la programmation de la date de réveil de son réceptacle,Le programme n'avait pas pu passer l'an 2000. 8000 années s'étaient écoulées maintenant. Le porte-parole dit a Richard de ne pas déprimer, car quelqu'un de très important voulait lui parler.

D'un seul coup, un mur entier devint un écran sur lequel on vit apparaître l'image d'une personne ayant une ressemblance frappante avec Bill Gates. Cet homme était Premier ministre de la terre. Il dit a Richard de ne pas être bouleversé, que la paix régnait sur terre et qu'il n'y avait plus de famine.

Il ajouta que le programme spatial avait été réinstauré et qu'il y avait des colonies sur la Lune et sur Mars. Il raconta que la technologie avait tellement progressé que tout le monde avait une interface virtuelle permettant de contacter quiconque était sur la planète ou de regarder n'importe quel événement sportif ou d'assister a des concerts à l'autre bout du monde.

"C'est terrifiant" dit Richard.

"Mais, dites-moi, pourquoi mon réveil est-il un tel événement ?"

"Et bien", dit le premier ministre, "L'an 10000 approche, et votre dossier indique que vous savez programmer en COBOL...."

Proposée Par Christophe Otero :

En pleine nuit, Toto est réveillé par du bruit dans la maison. Il sort de son lit et va voir ce qui se passe. Les bruits viennent de la chambre de ses parents alors il ouvre la porte, et que voit-il? Papa et maman en train de faire l'amour. Comme il ne comprend pas ce qui se passe, il demande d'une voix anxieuse:

"- Papa..; Maman... qu'est-ce que vous faites?"

Le père s'arrête aussitôt et s'assied sur le lit en tentant tant bien que mal de cacher son bâton de joie:

"- Heu..., tu vois Toto, tu nous avais dit que tu voulais un petit frère, hein?"

"- Oui...", répond timidement Toto

"- Eh bien, j'étais en train de placer un petit frère dans maman pour toi. Voilà!"

Toto est ravi et retourne se coucher dans sa chambre satisfait. le papa est lui heureux lui aussi de s'en être tiré aussi bien.

Le lendemain au retour du travail, le papa trouve Toto assis sur la pelouse en train de pleurer.

"- Qu'est-ce qui se passe Toto? Pourquoi tu pleures?"

Toto répond en pleurnichant:

"- Pa, sniff, Pa! Tu sais, tu m'avais dit...*sniff* ... tu m'avais dit que tu avais mis un petit frère dans le ventre de maman...."

"- Oui, eh alors?", demande le papa nerveusement...

"- Eh bien, *sniff* , ce matin, le facteur est venu et il l'a mangé!"

 

La femme parfaite, proposée par Denis Simard.

Il était une fois un homme parfait et une femme parfaite qui se rencontrèrent.

Après s'être fait la cour, ils se marièrent. Leur union était bien sûr parfaite. Une nuit de réveillon de Noël, ce couple parfait conduisait leur voiture le long d'une route déserte, lorsqu'ils remarquèrent quelqu'un en détresse sur le bord de la route.

Étant parfaits, ils s'arrêtèrent pour donner leur aide. La personne en détresse était le père Noël, avec sa hotte remplie de cadeaux.

Ne voulant pas que des milliers d'enfants soient déçus une veille de Noël, ils prirent le père Noël et ses jouets à bord de leur voiture parfaite, l'accompagnèrent pour la distribution des cadeaux. Malheureusement, à cause du mauvais temps le couple parfait et le père Noël eurent un accident. Seulement l'un d'entre eux survécu à cet accident... lequel ?

La femme parfaite a survécu.

En fait, c'est la seule personne de cette histoire qui existe vraiment. Tout le monde sait que le père Noël et l'homme parfait n'existent pas.

Les Femmes s'arrêtent de lire à partir d'ici, c'est la fin de la blague.

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Les Hommes peuvent continuer à lire l'histoire.

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Donc si le père Noël n'existe pas, pas plus d'ailleurs que l'homme parfait, la femme parfaite devait forcément conduire.

CECI EXPLIQUE BIEN L'ACCIDENT !

D'autre part, si vous êtes une femme et que vous êtes en train de lire ceci, nous sommes en train d'illustrer une autre vérité: c'est que les femmes n'écoutent jamais ce qu'ont leur dit.

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Une blague proposée par Faouzi Borgi

Dans un salon de coiffure, le patron accueille un prêtre pour une coupe de cheveux. Alors que le

religieux sort son porte-monnaie, le coiffeur insiste:

"Mon père, c'est toujours un honneur pour moi de recevoir un homme de Dieu. Je tiens a vous offrir gracieusement ce service. J'espère seulement que vous pourrez prier pour moi !"

Le prêtre le remercie chaleureusement et s'en va. Mais le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur découvre sept pièces sonnantes et trébuchantes devant sa porte...

Il accueille alors un moine bouddhiste qui tient a se faire tondre le crâne. Et comme la veille, a l'issue de la prestation, il déclare: "Maître, c'est toujours un honneur pour moi de recevoir un homme de Dieu. J'aimerais vous offrir cette tonsure. J'espère seulement que vous pourrez prier pour moi !

" Le bonze accepte l'offrande mais le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur découvre sept petites perles posées devant sa porte.

Un peu plus tard ce jour-là, le coiffeur accueille un rabbin et lui confie: "Monsieur le rabbin, c'est toujours un honneur pour moi de recevoir un homme de Dieu. J'aimerais vous offrir cette coupe de cheveux dans l'espoir que vous pourrez me consacrer l'une de vos prières."

Le religieux accepte en souriant et prend congé mais le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur découvre sept rabbins devant sa porte.

Une blague proposée par Julia Lestourneau

Un homme se présente chez son médecin traitant pour procéder à son check-up annuel. Les résultats des examens se révèlent tous excellents.

Le docteur déclare alors: "Monsieur, vous êtes en excellente santé, pas le moindre petit ennui à l'horizon, je vous félicite."

Le patient répond: "Dans ce cas est-ce que je peux vous demander quelque chose, Docteur."

"Dites, mon ami", répond aimablement le généraliste.

"Docteur", dit l'homme, "je voudrais me faire stériliser..."

"Une vasectomie ?", reprend le médecin, "C'est une décision lourde de conséquence. En avez-vous au moins parlé à votre famille ?

"Oui", répond le client, "on a voté hier soir a la maison. Ils ont gagnés par 11 voix contre 3."

LE BÊTISIER DE LA GENDARMERIE

Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.

Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.

L'homme a menacé l'adjudant que si on le prenait sur ce ton, lui aussi le prendrait sur ce ton.

C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'était mis à neiger.

Quand le contrevenant a crié : " Espèce de gros con ! " dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.

L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.

L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrêté ...

Le suspect s'est alors décidé à passer des aveux complets pour nous prouver qu'il n'était pour rien dans cette affaire.

L'homme nous déclara qu'il avait effectivement frappé son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention à ne pas lui faire mal.

L'homme avait essayé de cacher l'arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur dépassait.

Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux doigts...

L'animal n'a fait qu'une bouchée de la carrosserie du véhicule.

L'homme a insisté pour nous printer son préjudice qui ne mesurait en fait pas plus de dix centimètres...

Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.

Si nos gendarmes n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu ...

Pour finir, l'interpelle avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres.

Si l'appel n'a pas obtenu de réponse, c'est qu'il est parvenu au poste vendredi en fin de matinée alors que le permanent de service venait de partir se coucher comme tous les jours à la même heure.

Arrêté par les gendarmes, le voleur les a menacés d'appeler la police.

Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.

En nous priant d'accepter ses excuses, l'homme nous affirma que ses injures étaient bien l'expression de sa pensée et que l'incident était donc clos.

Malgré un taux d'alcoolémie de 3.8 g, le conducteur avait gardé toute sa lucidité pour écraser l'animal.

Sous le coup de la colère, l'homme mangea une pomme en ricanant...

C'est à l'intersection des deux routes que le mur a violemment heurté la voiture.

Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.

Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.

Le pendu est mort noyé.

Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit à la gendarmerie.

Le bêtisier des recruteurs

Un jour ou l'autre, tout le monde a du subir un entretien d'embauche.

Dans ces cas là, on pense surtout à ce qu'il NE FAUT PAS FAIRE...

Ne pas ronger ses ongles, ne pas gigoter sur sa chaise, ne pas interrompre, ne pas roter ou pire etc, évidemment, toutes ces attitudes sont censées nous disqualifier automatiquement. Et bien, on est loin du compte.

Voici le bêtisier et les pires gaffes commises par les postulants à un emploi rapporté par un cabinet de recrutement.

* "... a dit qu'il était tellement qualifié que si il n'était pas embauché, ce serait la preuve que le management de l'entreprise est incompétent."

* "... s'est couché a plat ventre sur le sol pour remplir le questionnaire personnel."

* "... a amené son Rottweiler avec elle pour l'entretien."

* "... mâchait du chewing-gum constamment et tentait même de faire des bulles."

* "... n'a pas arrêté de rire bêtement pendant l'entretien"

* "... portait un casque de baladeur sur les oreilles et m'a certifié qu'elle pouvait très bien écouter la musique et mes questions en même temps"

* "le candidat, chauve, s'excusa et sorti brutalement, l'air affolé. Revint pour terminer l'entretien quelques minutes plus tard, portant une moumoute."

* "Le candidat tenta de défier le recruteur dans un combat au 'bras de fer'"

* "... demanda a voir le CV du recruteur pour être sur que le chef du personnel était compétent"

* "... la candidate annonça qu'elle n'avait pas déjeuné et commença a manger un hamburger et des frites dans le bureau du recruteur"

* "... le candidat resta debout et marcha de long en large sans dire un mot pendant plusieurs minutes"

* "Le candidat portait un jogging alors qu'il passait un entretien pour un poste de vice-président financier."

* "jura que, si il était selectionné pour le poste, il se ferait tatouer le logo de l'entreprise sur l'avant-bras en gage de sa loyauté"

* "Demanda à interrompre l'entretien, le temps qu'il appelle son psychanalyste pour lui demander ce qu'il devait répondre à certaines questions personnelles"

* "... a prétendu ne pas vouloir se lever se son siège à la fin de l'entretien, sauf si je lui disais qu'il avait le poste. J'ai du appeler la police."

* "Lorsque je lui ai demandé quels étaient ses hobbies, il s'est levé et a commence a faire des claquettes dans le bureau."

* "... s'est baissé sur la moquette et l'a observée de près. Il m'a ensuite félicité car d'après lui l'épaisseur de la moquette marquait la reconnaissance témoignée par la compagnie à mon égard."

* "... a sorti un Polaroïd et m'a pris en photo. Il a dit qu'il collectionnait les photos de toutes les personnes qui lui faisaient passer un entretien."

* "Le candidat m'a dit qu'il n'était pas intéressé car le poste était trop bien rémunèré."

* "pendant l'entretien, la sonnerie d'un réveil s'échappa de l'attaché-case du candidat. Il sorti ce réveil, il coupa la sonnerie et s'excusa de partir car il devait passer un autre entretien."

* "La sonnerie du téléphone portable du candidat retentit. L'appel était de sa femme. Le candidat dit les phrases suivantes: "Quelle compagnie ? Quand est-ce que je commencerai ? Quel est le salaire?" à ce moment, j'ai dit : "Je suppose que vous n'êtes plus intéressé à poursuivre cet entretien plus avant." Il répondit tout de suite : "Si bien sûr, du moment que votre offre de salaire est supérieure." Je ne l'ai pas retenu pour le poste, mais plus tard, j'ai su qu'il n'y avait pas d'autre offre d'emploi pour lui.C'était simplement une ruse destinée à faire monter le salaire proposé."

* "La candidate entra dans le bureau en portant une seule chaussure. Elle expliqua qu'elle avait perdu son autre chaussure dans le bus."

* "Il retira sa chaussure droite ainsi que sa chaussette, sorti un pot contenant une poudre de sa poche, versa un peu de cette poudre sur son pied et dans sa chaussure. Il expliqua ensuite en remettant sa chaussette puis sa chaussure, que ce traitement était a réaliser quatre fois par jour, et que c'était l'heure."

* "Le candidat expliqua qu'il ne voulait pas du travail proposé, mais que l'ANPE avait besoin de preuves qu'il avait effectué des démarches de recherche d'emploi."

* "Le candidat sifflotait pendant qu'on lui posait des questions."

* "... il demanda qui était ce canon en montrant la photo de ma femme sur mon bureau. Lorsque je lui dit qu'il s'agissait de mon épouse, il voulu savoir si elle était à la maison en ce moment et me demanda mon numéro de téléphone. J'ai appelé la sécurité aussitôt."

* "... elle vomit sur mon bureau et tout de suite après me posa des questions sur le poste proposé, comme si rien ne s'était passé."

* "montrant une valise noire qu'il avait apporté dans mon bureau, il me dit que si il n'était pas selectionné, cette bombe exploserait. Incrédule, j'étais en train de me dire qu'on en voit vraiment de toutes les couleurs et je m'apprêtais a appeler la police tout en lui disant que le poste n'était pas pour lui. Il alla alors jusqu'à la valise, tourna un interrupteur et se sauva en courant. Personne n'a été blessé mais j'ai besoin d'un nouveau bureau."

* "... me demanda si je ne voulais pas 'un peu de coke' avant de commencer l'entretien."

Une blague proposée par Éric Desflours

(Vincennes, France)

Le patron d'une boutique de prêt-à-porter revenait d'un déplacement de trois jours en province. Entrant dans son magasin, il s'aperçut que son vendeur avait un épais bandage à la main...

Il demanda: "Ben qu'est ce qui vous est arrivé mon petit Bernard ?"

Mais le vendeur tout excité: "J'ai une excellente nouvelle, patron. Vous ne le croirez jamais mais j'ai réussi à le vendre !!!"

Le patron s'étonna: "Quoi ? Non... Le costume rose et vert a 3000 francs ?"

"Oui..."

"Celui qu'on a en stock depuis sept ans ?"

Le maître des lieux exulte et se confond en compliments: "Vous êtes le meilleur, Bernard.

Trouver un pigeon prêt à payer pour un truc aussi hideux, c'est tout simplement inouï... Comment avez-vous fait ?"

"Ben j'ai mis l'accent sur la coupe du costume plutôt que sur la couleur...", explique fièrement le vendeur. "Le client a payé mais, avant de partir, son chien-guide m'a mordu !"

Le Suisse

Un Suisse en vacances à Paris décide, puisqu'il est là, d'aller voir "les petites femmes de Pigalle". Il se rend donc sur la dite place et commence à chercher une "petite femme".

- "Bonjour mademoiselle. Dis, combien tu me prendrais ?"

- "Moi, c'est 2.000 mon lapin."

- "2.000 !!! Ça fait cher tu sais, je suis Suisse, j'ai donc pas beaucoup d'argent moi.

Ca rentre pas dans mon budget."

Et il continue sa quête.

- "Bonjour mademoiselle. Dis, combien tu me prendrais ?"

- "Moi, c'est 1.000 balles !"

- "1.000 ! Ca rentre pas dans mon budget."

- "Bon, alors écoute, vas voir en haut de la rue, j'ai une collègue qui prend pas trop cher, tu verras."

Notre petit Suisse monte donc tout en haut de la rue.

- "Bonjour mademoiselle. Dis, combien tu me prendrais toi ?"

- "Moi, c'est 200."

- "Ha, 200, là ça va. On monte ?"

La petite affaire faite, notre suisse repart. Pris de remords, se disant qu'elle avait dû se tromper, il revient :

- "Dis donc, t'es sure que tu t'es pas trompée, 200 F, ça fait pas beaucoup quand même... "

- "Mais non, c'est 200 balles parce que ch'suis syphilitique !"

- "Ah, bah si c'est qu'ça, tu sais, moi je suis Helvétique, et c'est pas grave, tant qu'on a la santé !!!"